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Quand nos émotions rendent nos corps malades

  • 10 nov.
  • 3 min de lecture


Bonjour amoureux de la Parole, et bon lundi !


Cette semaine, j’ai vécu une petite expérience… involontaire. (Je vous écris un dimanche, donc pensez plutôt à la semaine dernière.). Je pourrais simplement dire "la semaine dernière", puisque vous me lirez plus tard, mais bon… mon cerveau est un peu confus ces jours-ci, lol. Revenons à mon histoire.


Au début de la semaine, j’ai pris un mélange de plantes en infusion, persuadée de faire du bien à mon corps. Sauf que le contraire s’est produit : ma tension artérielle a chuté brutalement. Je vous passe les détails. Et non, je ne vous dirai pas quelles plantes c’étaient – pas envie que quelqu’un tente le coup sans avis médical ! Un collègue hypertendu voulait essayer, je lui ai bien sûr dit de s’en abstenir.


Mais ce petit incident a ouvert une grande réflexion. Parce qu’au fond, je me suis rendu compte que je m’étais rendue malade toute seule. Et je me suis posé une question : Combien de fois faisons-nous la même chose… sans herbes, sans potions, mais avec nos pensées, nos émotions, nos blessures non guéries ?


Quand le corps crie ce que l’âme n’a pas dit


La douleur physique que j’ai ressentie m’a fait prendre conscience d’une vérité spirituelle : certaines douleurs ne viennent pas d’une erreur de dosage, mais d’une surcharge émotionnelle... quoiqu'une surcharge peut aussi se définir comme une erreur de dosage ... humm... on avance 😁. Un cœur blessé, une rancune, un deuil, une déception peuvent peser sur nos organes comme un poids invisible. Ce que l’âme ne dit pas, le corps finit souvent par le crier.


Salomon l’avait déjà compris :

« Un cœur joyeux est un bon remède, mais un esprit abattu dessèche les os. »Proverbes 17:22

Nos émotions peuvent devenir un médicament… ou un poison. Et quand l’amertume, la peur ou la culpabilité s’installent, notre corps encaisse les coups. On croit être forts, mais à l’intérieur, quelque chose s’épuise.


Quand on devient son propre bourreau


Il y a aussi ces blessures qu’on s’inflige soi-même : les regrets qu’on ressasse, la colère qu’on garde, la culpabilité qu’on entretient. Peu à peu, notre âme s’alourdit, et notre corps porte ce fardeau.

« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. »Philippiens 4:6

L’inquiétude chronique, la peur du futur, l’angoisse du passé, les jalousies injustifiées – tout cela use notre système nerveux, dérègle nos hormones et vole notre paix. Mais Dieu nous appelle à déposer ces fardeaux, non pas pour être négligents, mais pour être libres.


Guérir de l’intérieur


La vraie guérison ne commence pas toujours dans une tasse de tisane ou dans un médicament, mais dans le silence du cœur. Quand on se réconcilie avec soi-même, qu’on pardonne, qu’on dépose nos blessures aux pieds de Dieu… la paix revient. Et cette paix guérit.

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. »Matthieu 11:28

Prendre soin de son âme, c’est aussi prendre soin de son corps. C’est apprendre à se parler avec douceur, à respirer, à prier, à rire, à s’aimer comme Dieu nous aime.


Cette semaine, ce n’est pas seulement ma tension qui a chuté – c’est une leçon qui est descendue dans mon cœur. Nos émotions, nos pensées et nos regrets peuvent être de puissants remèdes… ou de dangereux poisons. Alors, prenons soin de nos âmes autant que de nos corps. Parce que parfois, la vraie médecine commence dans la paix du cœur.

« Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui jaillissent les sources de la vie. »Proverbes 4:23

Que Dieu vous bénisse !


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L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Matthieu 4:4

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